Ouverture de la billetterie le 13 janvier 2025
! Important !
Votre réservation en ligne ne garantit pas le placement.
Vous êtes assuré d’avoir une place mais afin de profiter au mieux du spectacle, nous vous conseillons de vous présenter suffisamment tôt pour choisir votre place.
(Les portes de la salle ouvrent 45min avant le début de la séance.)
Les dernières places seront mises en vente sur internet.
Si toutes les places sont vendues sur internet, aucune autre place ne sera disponible à la vente sur place.
Les ventes internet se terminent 1h avant le début de chaque représentation (19h30 ou 14h30). Passé ce délai, il faudra vous rendre directement sur place pour acheter vos billets !
A Savoir, en cas de non présentation 5 minutes avant le début de la séance et si l’affluence le requiert, vos billets pourront être remis à la vente.
Le point sur la billetterie :
• Séance du Vendredi 21 Février : Il reste des places à vendre sur place
• Séance du Samedi 22 Février : Il reste des places à vendre sur place
• Séance du Dimanche 23 Février : Il reste des places à vendre sur place
Vous ne parvenez pas à visualiser le module de vente ou bien ce dernier a un problème technique ?
Pas de panique, vous pouvez également vous rendre ICI pour acheter vos billets ! (site sécurisé)
Qu’importe le flocon…
de Anny LESCALIER
Comédie en 3 actes – Tout Public – Durée 100min (+ une entracte de 20min)
(Crédit : Studio Colette)
RÉSUMÉ
Ah l’hiver, quelle belle saison ! Les bons petits plats, le vin chaud, la neige…
La neige ? Un véritable calvaire pour Michel oui ! Parce que qui dit neige, dit routes bloquées et automobilistes cherchant désespérément un refuge pour échapper à la nuit glaciale. Ainsi, quand on a la maison la plus proche de la côte de Saint-Frelon, on s’expose au risque de voir débarquer toutes sortes d’hurluberlus en perdition. Et si cela fait la joie de son épouse, la joviale Janine, rien n’exaspère davantage notre brave ours asocial que les invités inopportuns !
Mais qu’importe le flocon, pourvu que l’on puisse en rire… n’est-ce pas ?